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dit que les bras étaient très en évidence, car je serai dans un fauteuil, les bras pendants ; on dit que j’ai de très beaux bras… Comment trouvez-vous mes bras ?

m. de nancé, froidement.

Probablement très beaux, Madame ; mais je ne m’y connais pas.

— Mon père, vous me demandez !… s’écria Christine, qui arrivait en courant, le croyant seul. Ah ! »

Christine venait d’apercevoir sa mère, que les dernières paroles de M. de Nancé avaient mise de mauvaise humeur.

madame des ormes.

À qui parlez-vous si haut, Christine ? Croyez-vous entrer dans une écurie ?

christine.

Pardon, maman ; on m’avait dit que M. de Nancé me demandait. Je le croyais seul.

madame des ormes.

Et pourquoi l’appelez-vous votre père ?

christine.

Maman, papa m’a permis d’appeler M. de Nancé mon père, parce qu’il est si bon pour moi…

madame des ormes.

Ah ! ah ! ah ! la bonne idée ! Dieu ! que c’est bête à M. des Ormes ! »

M. de Nancé s’aperçut que les choses allaient tourner mal pour la pauvre Christine interdite, et il crut devoir intervenir.

m. de nancé.

Christine est d’une reconnaissance excessive du