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songeaient pas encore à revenir ; que personne ne l’obligeait à aimer Maurice ; qu’elle ne lui devait que de la compassion et de la bonté. Christine essuya ses yeux, avoua qu’elle avait été un peu sotte et promit de ne plus recommencer.

« Seulement, je te demande, François, de ne pas me laisser trop souvent pour aller voir Maurice et de ne pas l’aimer autant que tu m’aimes.

— Sois tranquille, Christine ; tu seras toujours celle que j’aimerai par-dessus tout, excepté papa. »