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sœur de Cémiane ; je ne verrai pas Christine ; alors j’aime mieux vous la donner de suite.

m. de nancé.

De tout mon cœur, chère Madame : quand faut-il que je vienne la prendre ?

madame des ormes.

Tout de suite ! Remmenez-la, et envoyez votre carriole pour ses effets, qu’Isabelle mettra dans une malle. Adieu, Christine ; adieu, ma fille : sois bien sage, bien obéissante ; ne fais pas enrager ce bon M. de Nancé, qui veut bien de toi. Au revoir, dans six ou sept mois. »

Elle embrassa Christine sur les deux joues, serra