Je pleurerai toujours tant que je serai séparée de François.
Je t’enverrai à Séraphin, à Franconi !
Je ne veux pas de Séraphin sans François ; je veux rester avec François.
Dieu ! quel ennui ! Que vais-je devenir avec une figure pleurante en face de moi ? Mon bon Monsieur de Nancé, de grâce, venez faire Assuérus.
Impossible, Madame ; je ne me ferai jamais comédien.
Que faire alors ? Venez à mon secours.
Madame… »
M. de Nancé hésita.
Quoi, quoi ? dites, dites, mon cher Monsieur de Nancé. Délivrez-moi de cet ennui ; je ne peux pas supporter la lutte.
Madame,… je vous offre un moyen de vous en délivrer. Laissez-moi Christine ; vous serez bien plus libre, sans aucun embarras, aucune gêne.
Mais pour vous quel ennui ! quelle charge !