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françois.

Je ne sais pas ; ils ne me l’ont pas dit.

christine.

T’ont-ils raconté comment le feu avait pris au salon ?

françois.

Non, je ne le leur ai pas demandé.

christine.

De quoi avez-vous donc causé ?

françois.

Mais ils n’ont pas causé ; j’ai parlé tout seul.

christine.

Ah ! mon Dieu ! est-ce que leur langue est brûlée ?

françois, souriant.

Non ; seulement ils ne parlent pas. »

Christine le regarda attentivement.

christine.

François,… ils t’ont fait quelque méchanceté, et tu ne veux pas le dire. Je le vois à ton air embarrassé.

— Et tu as deviné, Christine, dit M. de Nancé en riant. Ils ne lui ont pas dit un mot, pas répondu un oui ou un non ; ils ne l’ont pas regardé. Et François veut y retourner.

christine.

Tu es trop bon, François ! Je t’assure que tu es trop bon. Ne trouvez-vous pas, cher Monsieur ?

m. de nancé.

On n’est jamais trop bon, ma petite Christine, et rarement on l’est assez. En retournant chez