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— Je brûlais, je suffoquais », répondit faiblement Adolphe.

Et il commença à gémir et à se plaindre de la douleur causée par les brûlures. M. de Nancé remit Adolphe aux mains des domestiques, qui l’emmenèrent à la ferme, et lui-même s’occupa de faire revenir Maurice : mais ses soins furent inutiles ; les reins étaient meurtris ainsi que les épaules ; les jambes, qui avaient porté sur le pavé, étaient contusionnées et brisées ; il demanda qu’on allât au plus vite chercher un médecin, étendit Maurice sur