Comment, Gertrude ! c’est ça qui t’empêche de venir me joindre ? C’est ça que tu appelles un travail pressé. Ha ! ha ! ha ! quelle bêtise !
C’est une bêtise pour toi, mais c’est très important pour nous.
Laisse donc cela, et viens avec moi.
Non, Félicie, j’ai promis à ces pauvres petits de les aider, et je veux finir de tout arranger. Ils ont déjà versé une fois, parce que le mobilier était mal chargé.
Eh bien ! ils verseront une seconde fois ; il n’y a pas grand mal.
Tu es méchante, Félicie ! Quand ça verse, ça casse ; tiens, vois, deux assiettes et un verre cassés.
Eh bien ! il en reste bien assez pour vous amuser.
Ce n’est pas pour nous ; c’est pour les petits Diloy.
Les petits Diloy ! Tout ça pour des petits enfants de chemineau ! »
Laurent venait d’arriver, traînant une corde.
D’abord, Diloy n’est plus un chemineau ; ensuite