Page:Ségur - Diloy le chemineau, Hachette, 1895.djvu/169

Cette page a été validée par deux contributeurs.

La voiture s’éloigna. Quand on arriva, Anne dormait si profondément que sa bonne la prit, la déshabilla, la coucha sans qu’elle ouvrît les yeux. Laurent ne dormait qu’à moitié, il y voyait encore un peu ; sa maman l’aida à se déshabiller, à faire une très courte prière et à se coucher.