pitié depuis l’accident de Gudule ; il est toujours si triste !
Et toujours les yeux rouges comme s’il avait pleuré.
Et tu as remarqué qu’il ne ment plus ?
Oui ; je crois réellement qu’il est corrigé. Ce serait bien heureux !
C’est qu’on ne pouvait croire un mot de ce qu’il disait !
Ce n’est pas encore bien sûr qu’il soit corrigé ! Il n’a pas eu d’occasion de mentir depuis la maladie de la pauvre Gudule ; s’il fallait avouer quelque sottise et se faire gronder, je crains bien qu’il ne mente comme jadis, en inventant quelque histoire absurde et impossible.
Ah ! la jolie boîte ! La belle écritoire ! Regarde donc, Gertrude !… C’est magnifique ! (Gertrude approche et regarde avec Francine ; elles ouvrent la boîte.)
Comme c’est joli ! comme c’est beau !
Ah ! vois donc ! des pièces tachées d’encre !
Quel dommage ! Tout le jeu est abîmé, perdu.
Si on frottait un peu fort, on pourrait peut-être