avec toi, toutes les fois que je pourrai me reposer de mon travail ?
Tant que tu voudras, mon ami, comme du temps de notre enfance. Je ne me gêne pas avec toi ; si j’ai à lire, ou à écrire, ou à peindre, tu ne me dérangeras en aucune façon. — Mais où est donc mon oncle ?
Il est sans doute allé faire voir à ma cousine Primerose les changements qu’il a faits à son cabinet de travail, qui n’est plus dans sa bibliothèque.
Ah ! Où est-il à présent ?
À côté, dans ce qui faisait ma chambre.
Et toi, où es-tu ?
Dans un appartement qu’il a fait arranger pour moi dans l’ancienne serre, qui touchait à la bibliothèque.
Je n’ai encore rien vu de tout cela ; après dîner, nous irons nous promener et voir les changements dont tu parles.
Je suis à tes ordres, quand et comme tu voudras. »
Le dîner fut annoncé. M. Dormère et Mlle Pri-