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c’est que de trop parler ; on finit toujours par dire des sottises. Comme il est vrai qu’on ne connaît jamais assez ses défauts ! »

Azéma n’osa pas répliquer ; elle quitta la chambre. Mlle Primerose expliqua plus longuement ses intentions à Geneviève et à Pélagie, qui chercha vainement à placer quelques mots. Mlle Primerose, excitée par l’irritation qu’elle éprouvait de la conduite de M. Dormère, parla jusqu’au dîner, qui vint heureusement interrompre le bavardage de cette excellente mais bizarre personne.