votre garçon ! Comment la bonne le laisse-t-elle arrangé en gresset ? Voulez-vous que j’aille la chercher pour le rhabiller ?
Qu’est-ce que cela fait, Cunégonde, que l’enfant ait un peu verdi sa veste et son pantalon ? Laisse-le donc tranquille.
Je vous demande pardon de sa tenue, chère madame ; je crois que ma cousine a raison de vouloir lui faire changer de vêtements…
Mais non, mais non, cher voisin ; Geneviève nous a bien gentiment expliqué que c’était par bonté pour elle, pour la tirer d’un fourré de ronces, qu’il avait mis du désordre dans ses vêtements ; c’est très honorable.
Laissez-moi faire, mon cher cousin. Je vais arranger tout cela. »
La cousine Primerose, sans attendre la réponse de M. Dormère, sortit du salon et monta lestement chez la bonne.
Bonjour, ma chère Pélagie ; je viens vous avertir que Georges n’est pas tolérable avec ses habits tout verts. Il faut que vous le fassiez changer de tout ; la petite est très propre ; vous la soignez celle-là, c’est bien ; mais vous négligez trop le garçon ; il est tout honteux de sa verdure ; il ne lui manque que des plumes pour être perruche ou perroquet.