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la jeune fille.

Et puis des gazes nuancées
Qui font des robes de vapeurs.


Certes, toutes les jeunes filles
M’envîraient ! j’ai, les soirs d’hiver,
Des bals, où la joie est dans l’air :
Des bals avec les vifs quadrilles,
La foule qu’on voit resplendir,
L’orchestre, l’âme de la danse,
Qui fait bondir quand on y pense,
Et semble une voix du plaisir ;


Des bals, avec des fleurs vermeilles
Sur les marches des escaliers,