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paris.



Laisse son Espagne la belle
Au grand poëte aux chants nouveaux ;
Laisse-lui ses tours à créneaux,
Ses ogives, ses chapiteaux,
Et ses hauts clochers de dentelle !

Si tout n’est que senteurs et miel
Sur sa terre d’Andalousie,
C’est que lui, vois-tu, l’a choisie ;
Et son soleil de poésie
S’en est allé dorer son ciel !


Rome, qui se dit souveraine,
Pour loger ses ducs, ses prélats,
A mille palais aux toits plats,