Page:Ségalas - Les Oiseaux de passage, 1837.djvu/161

Cette page a été validée par deux contributeurs.

L’HOMME HEUREUX.

L’homme heureux, ce n’est pas quelque divin poëte
Au chant de séraphin, aux hymnes de prophète ;
Que le monde applaudit, quand son livre est éclos,
Avec les cent rumeurs d’une mer sur sa grève,