Page:Ségalas - Les Oiseaux de passage, 1837.djvu/107

Cette page a été validée par deux contributeurs.

LA PAUVRE FEMME.

Et puis la pauvreté, c’est une chose dure,
Regorgeante de maux.
Iacqves Tahvreav.

Ils ne dorment jamais qu’un sommeil d’insomnie,

Vivans, n’ont pas d’habits ; morts, n’ont pas de linceuls.
Mme  Hermance Lesguillon.