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bouche humide et douce comme du satin, lui parlant tout bas et tâchant de la faire sourire.

— Si tu savais comme je t’aime bien, ma petite Marguerite, comme tu es jolie, comme ton petit corps est charmant et fait pour attirer les caresses.

— Oh ! Germaine, je suis trop honteuse, je n’oserai plus te regarder.

— Petite folle, va ! ce n’est pas si extraordinaire que cela. Ne t’ai-je pas vue toute nue bien souvent ? Et comme tu es ma gentille petite amie que j’aime tout plein, j’ai voulu te caresser bien doucement pour te faire plaisir.

— C’est vrai, cela, mais pourquoi à cet endroit ? J’en suis si étonnée. On m’avait toujours dit qu’on ne devait pas lever ses jupons, et si maman me fait parfois porter des pantalons fermés, c’est bien sûr pour qu’on ne puisse pas voir mon… ce que tu sais bien.

— Oui, chérie, mais maintenant qu’on l’a vu, ton petit cul n’est pas perdu pour cela.

— Je ne savais pas qu’on pouvait faire des choses aussi sales que cela.

— Ce n’est pas sale du tout.

— Oh ! Germaine, mettre sa bouche à un endroit par où…

— Par où l’on fait pipi, mais oui ! C’est un