Page:Séduction, jeunes amours, 1935.djvu/80

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
66

le corps nu de sa jolie maîtresse, bouche à bouche, étroitement enlacés, ils goûtèrent encore les suprêmes délices.

Claude, qui avait pris goût à ces jolis jeux d’amour, voulut y revenir souvent. Il s’amusait de la jolie bonne, la taquinait à tous moments, voulait jouir d’elle en plein jour dans les appartements où il la rencontrait, lui jouant même les tours les plus perfides.

C’est ainsi que trouvant un jour Germaine accoudée à une croisée du premier étage, causant avec Claire et sa jeune sœur qui se trouvaient au jardin, il lui prit l’idée saugrenue de la posséder ainsi. Avant qu’elle ait eu le temps de s’en apercevoir, il avait baissé sur ses reins la fenêtre à tabatière et descendu le store. Puis, retroussant ses jupes, et profitant de l’impossibilité absolue où elle était de bouger, il enfonça par derrière son membre dans le vagin, en même temps qu’avec la main passée sous son ventre, il atteignait le clitoris et la branlait. Au bout d’un moment, naturellement, Germaine, ainsi prise en levrette, et malgré le dépit que lui causait cette agression inopportune, entrait en jouissance et tortillait le cul, et Claude entendait les éclats de rire bruyants des deux jeunes filles étonnées du bégaiement de