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elle, admira et caressa ces belles fesses. Il humecta de salive le petit orifice ainsi que son gland, de manière à faciliter la pénétration, présenta ce dernier à l’étroite porte, écartant un peu les fesses de ses deux mains, poussa lentement et vit son membre pénétrer doucement, dilatant l’anus, et disparaître bientôt jusqu’aux poils dans l’étroit couloir. Germaine remuant alors le cul avec adresse par un léger mouvement de va-et-vient fit sortir un peu et rentrer dans son logement le membre de Claude qui, serré dans le muscle anal comme dans un étau, ne tarda pas à jouir à nouveau, lançant dans les entrailles de son amie un nouveau déluge de sa liqueur d’amour par jets saccadés, l’anus empêchant par sa force constrictive la liqueur de s’épancher d’un seul coup. Aussi le jeune homme éprouva-t-il la plus exquise volupté que partagea du reste Germaine en s’aidant de la main pour caresser son bouton d’amour.

Claude remercia gentiment son amie de sa complaisance. Ce ne fut que bien plus tard qu’il regagna sa chambre, et il ne le fit qu’après avoir encore une fois joui de la jeune femme. Cette fois, il la posséda comme l’avait fait Jean le cocher, et sa verge, logée dans le vagin de Germaine, y fit une dernière et copieuse libation. Étendu sur