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nu pour jouir de la vue de ce corps svelte et charmant. De son côté, Claude lui retira sa chemise : il put à son aise admirer la beauté de Germaine, dont l’admirable toison brune, épaisse et frisée, faisait ressortir la peau blanche et veloutée. Sa superbe chevelure brune lui venait au bas des reins, et l’éclat de ses beaux yeux noirs, ses dents éblouissantes, les vives couleurs que venait de lui donner la jouissance, toutes ces beautés offertes aux yeux ravis de Claude l’excitèrent au point de faire renaître bien vite sa virilité émoussée momentanément par l’extrême et lancinante jouissance qu’il venait d’éprouver sous la minette savante et prolongée de son amie.

La jeune femme, ravie de cette renaissance si prompte qui était le plus bel éloge de ses charmes, s’offrit de nouveau à son amant, mettant tout d’elle à sa disposition et lui donnant au choix sa ravissante conque d’amour ou l’étroit réduit caché entre ses fesses fermes et rebondies. Claude voulut d’abord explorer ce petit trou, car c’était chose nouvelle pour lui. Germaine lui expliqua la bonne manière et, se retournant, elle se mit à genoux, le corps penché en avant, la tête dans l’oreiller, écartant les cuisses et présentant le plus joli cul que l’on puisse voir. Claude, à genoux derrière