Page:Séduction, jeunes amours, 1935.djvu/69

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
57

Pendant qu’il la maintenait d’une main, il déboutonna de l’autre son pantalon et sortit un membre réellement formidable. Très gros et très long, rouge par l’afflux du sang et sillonné d’un réseau de veines bleues, il paraissait dur comme une barre de fer ; le gland entièrement sorti de la peau semblait une massue. À sa vue, Germaine prit peur.

— Jean, mon ami, je t’en prie, jamais il n’entrera, tu vas me déchirer, je t’en prie, Jean !

Elle se défendait, serrant les cuisses, rabattant ses jupes de ses deux mains, se refusant toute. Mais Jean était le plus fort ; il eut vite fait de découvrir de nouveau le corps charmant de Germaine, mettant ses parties sexuelles en pleine lumière et, plaçant son membre énorme à l’entrée de la fente mignonne de la jeune femme, il s’arc-bouta sur les mains et se mit à pousser, remuant le cul et soufflant comme une bête en rut.

Germaine, voyant que toute résistance était inutile, se résigna à son sort, anxieuse, car la tête du membre viril était seule entrée, et les violentes poussées du mâle lui faisaient craindre d’être écartelée. Enfin peu à peu il pénétra jusqu’aux poils. Telle est l’admirable élasticité des parois du vagin chez la femme que la mignonne grotte d’amour engloutit cet énorme morceau sans le moindre mal.