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bouche aux parties que sa main venait d’agacer, la léchant, la suçant, la mordillant, jusqu’à ce qu’elle lui eût donné des preuves certaines qu’elle était arrivée une seconde fois au spasme suprême de la volupté.

Quand la jeune fille fut remise de son émotion, Mme Blanche lui demanda doucement si elle voulait lui rendre le même service. Sans attendre la réponse, elle enleva prestement sa chemise, offrant sa superbe nudité aux yeux de sa petite bonne ravie, s’installa sur le lit, embrassa Germaine et lui demanda bas à l’oreille, par mignardise, de bien vouloir se dévêtir comme elle. En un tour de main, celle-ci enleva ses vêtements et apparut sans voiles dans sa radieuse beauté à sa maîtresse éblouie qui ne tarissait pas d’éloges sur ses charmes, les énumérant, s’extasiant, faisant tourner la belle fille pour l’admirer de tous côtés. Puis, l’attirant sur le lit, elle la couvrit de baisers, et, folle du désir de jouir à son tour par cette ravissante enfant, elle la fit mettre à genoux devant elle, lui prit la tête entre les mains et la dirigea elle-même entre ses cuisses, en ce charmant endroit qu’avaient excité les scènes précédentes. Germaine se laissait faire, excitée elle aussi et charmée de pouvoir fourrer son petit museau dans la chair blanche et parfumée