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curiosité lubrique de ce ravissant corps de fillette, au ventre bien dessiné avec des hanches déjà indiquées, aux cuisses potelées et fermes pour son âge, séparées à leur commissure au bas-ventre sans poils par une charmante petite fente semblant les deux lèvres d’une bouche vermeille. Mais cette vue ne leur suffit pas ; ils retournèrent doucement la fillette et admirèrent un joli petit derrière aux fesses fermes et rebondies, à la peau douce et blanche ; puis, l’un des gamins lui écartant un peu les fesses, au grand plaisir des autres, leur montra la mignonne rosette plissée, cachée dans l’étroit vallon. On la remit sur le dos et chacun voulut à son tour, caresser la petite fente et branler le bouton rose qui paraissait assez développé. Alors, une petite fille qui en mourait d’envie depuis longtemps, la blonde amie de Germaine, écarta les garçons et, au milieu de leur enthousiasme et de leurs remarques polissonnes, se coucha entre les cuisses de la petite et se mit à lécher avidement ses parties sexuelles. Écartant avec le doigt les jolies lèvres rouges, sa langue passait et repassait dans toute la longueur de la fente, puis elle roula le clitoris entre ses lèvres et lui donna des petits coups de langue d’une rapidité extrême. Au bout d’un certain temps de ce jeu, le ventre de Germaine montait et descendait