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sur le gazon et avait voulu relever sa petite jupe, mais la fillette s’était joliment défendue et avait poussé de tels cris que le galopin avait dû filer avant d’avoir satisfait sa curiosité. On pensa qu’elle aimerait mieux les filles. Une blondinette s’en fit une amie, l’embrassant et lui caressant la figure. Elle passait même quelquefois vivement la main entre les cuisses de Germaine, touchant par la fente de son pantalon les parties sexuelles qu’elle voulait caresser. Parfois, aussi, assise devant elle, relevant ses propres jupes et ouvrant son pantalon de la main gauche tandis que de l’autre elle caressait sa petite fente, y introduisant le doigt du milieu et lui donnant un rapide mouvement de va-et-vient sur le petit monticule rose de la partie supérieure, elle suppliait son amie de venir lui faire cette caresse. Pendant ce temps, sa figure devenue rouge, sa respiration plus rapide, ses yeux brillants de plaisir et les mouvements nerveux de tout son corps jusqu’au moment de la jouissance où elle s’étendait pâmée, montraient clairement que la représentation n’avait rien de simulé.

La petite Germaine, troublée par des spectacles aussi lascifs, était désireuse au fond de goûter à des plaisirs inconnus d’elle, mais elle n’osait pourtant essayer encore par timidité.