une élève si remarquablement douée que peu de leçons furent nécessaires pour lui apprendre toutes les mignardises amoureuses, les multiples façons de se donner l’un à l’autre, et toute la gamme des jouissances qui constitue l’art exquis de l’amour. Claude lui ayant dit un jour que le petit trou caché entre les fesses pourrait être un rival pour son voisin le petit chat et offrir un asile voluptueux au membre viril, elle voulut expérimenter le soir même cette manière peu banale de faire l’amour, mais non sans appréhension, il est vrai, tant son petit trou postérieur lui semblait étroit pour loger ce gros morceau.
Claude la rassura en lui promettant une facile pénétration de sa verge dans l’étroit réduit, grâce à d’adroites précautions. Il l’installa sur le lit à genoux, les jambes ouvertes, le haut du corps appuyé sur l’oreiller. Dans cette position les fesses étaient écartées et la mignonne rosette s’offrait toute à l’amoureux combat. Le jeune homme fit de tendres caresses à ce derrière si joli, sans oublier au-dessous le petit chat, voisin gourmand auquel il commença à faire minette, tandis qu’il enfonçait doucement l’index dans le petit trou voisin pour en connaître la souplesse ; puis sa langue remonta faire sur la mignonne rosette anale des caresses si douces