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réussi avec sa bonne, elle résolut de brusquer les événements. Un jour elle demanda à s’absenter quelques minutes au milieu de la leçon : Claude pensa qu’il s’agissait d’un besoin naturel. Quand elle revint, elle était un peu rouge et gênée ; elle remonta aux anneaux dans lesquels elle engagea ses jambes, puis, recommandant au jeune homme de bien la surveiller dans cet exercice nouveau, elle se rejeta la tête en bas, suspendue par les jarrets.

Le spectacle que vit Claude l’émotionna au plus haut point : les jupes retombaient, laissant toutes les parties intimes complètement nues, depuis les bas noirs arrêtés au-dessus du genou par de simples jarretières, jusqu’à la taille. On ne pouvait rien rêver de plus joli que le corps de la brune fillette : ces cuisses potelées d’une blancheur immaculée et d’un contour exquis ; ce petit ventre dont la peau plus fine et plus veloutée que celle d’une pêche et d’une transparence admirable laissait voir les veines bleues courant en tous sens sous sa surface ; ces mignonnes fesses fermes et déjà grassouillettes entre l’écartement desquelles se voyait un microscopique petit trou rose aux plis très fins, l’ensemble faisant le plus gracieux petit cul qui se puisse voir ; et entre les cuisses ces deux mignonnes petites lèvres