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Les jours qui suivirent, elle se tint dans une réserve discrète vis-à-vis de son ami, qu’elle chercha à éviter. Claude vit bien qu’elle n’était pas réellement fâchée ; c’était plutôt une impression de honte qui dominait en elle. Comme par un accord tacite, il ne fut pas question entre eux de la scène de la voiture. Claude ne voulait rien brusquer, enchanté qu’il était du grand progrès qu’il avait accompli en faisant connaître le plaisir des sens à son amie.