— Il arrivait que de plus grands garçons fussent admis à revenir à l’école, où ils recevaient des leçons particulières. C’étaient les Cours d’adultes, avant la lettre ou plutôt… avant le temps.
— Aux enfants nécessiteux, Démia faisait distribuer du pain pour le petit déjeuner du matin et aussi pour le goûter. Il obtenait encore des familles riches qu’elles donnassent à dîner, une ou deux fois la semaine, à quelques pauvres écoliers.
Certains élèves sont autorisés à rester toute la journée à l’école, s’ils ont soin d’apporter « leur petite portion pour le dîner », auquel cas l’école leur fournit le potage.
Et voilà l’idée et même un essai des Cantines scolaires !
— Et ceci, que nous croyons avoir été découvert au xxe siècle :
« Ce n’est pas nous, déclare G. Compayré, qui avons inventé, dans notre législation scolaire, l’obligation de l’Examen médical. Dès 1681, Démia avait décidé que, dorénavant, aucun enfant ne serait reçu sans qu’il eût été, au préalable, visité par « quelque médecin ou