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Gebhart — il reste un bien pauvre et facile jeu de société, — de mauvaise société.

Le sourire de M. Gebhart a toujours quelque chose d’équivoque et qui rappelle plusieurs figures à la fois. Ses malices semblent traduites des conteurs florentins et en même temps imitées d’Anatole France ou de Voltaire. Mais le rire de Voltaire ou de France est une arme. Gebhart est un automate qui tire au mur et, s’il rit, c’est qu’on a fait rire quelqu’un dans le phonographe qui lui sert de cerveau.

Voici un professeur moins connu et plus intéressant, J. Charles-Brun. Celui-ci est le professeur parfait et amorphe. Il serait insuffisant de le déclarer souple il est liquide ; et prend la forme de tous les vases.

La plus considérable de ses œuvres publiées est un volume de vers français — car il fait aussi des vers occitans et peut-être des vers latins — intitulé Onyx et pastels. Plus encore que ne l’annonce le titre, les vers sont mièvres et précieux.

Le professeur supérieur pourrait faire autre chose aussi bien ou aussi mal que ce qu’il fait,