prosateur du xixe siècle ». Il s’écrie, devant une phrase banalement oratoire et académique du duc de Broglie : « Dieu ! que c’est beau, plastique, sculptural ! » Et chez le fils de l’immortel mort depuis peu et oublié depuis longtemps, il salue le « digne héritier d’une grande dynastie littéraire. »
Allons ! ce n’est pas grand’chose, la « critique catholique », telle que l’entend le chanoine Delfour. C’est aussi bête, aussi flagorneur et aussi lâche que la critique sans épithète, quand un Jules Lemaître et un Gaston Deschamps s’en font un honnête moyen de parvenir en rampant ou y montrent souriants, sous le voile incertain des sottises qu’on leur apprit, la solidité primitive de leur sottise foncière.
M. Charles Godard publie sur l’Occultisme contemporain, le Fakirisme ou le Brahmanisme de petits livres vulgarisateurs. Ses opuscules font partie d’une collection, qui porte deux étiquettes : Science et religion et, au-dessous, Études pour le temps présent. La préposition « pour » avoue opportunisme et mercantile actualisme et la première étiquette nous