leurs crevasses. Un singe accroupi devenant un démon présente la théorie darwinienne retournée.
À l’intérieur du porche.
25. C. Le Seigneur visite Jérusalem.
Le Christ traversant les rues de Jérusalem avec une lanterne dans chaque main.
25. D. Le hérisson et le butor[1] (iii, 14).
Avec un oiseau chantant dans une cage à la fenêtre.
26. Aggée.
À l’intérieur du porche.
26. A. Les maisons des princes ornées de lambris[2]. (i, 4.)
Une maison parfaitement bâtie de pierres carrées tristement solides ; la grille (d’une prison ?) sur la façade du soubassement.
26. Le ciel retient sa rosée. (i, 4.)
Les cieux comme une masse en saillie, avec des étoiles, le soleil, et la lune à la surface. Au-dessous, deux arbres flétris.
En façade.
26. C. Le temple du Seigneur désolé. (i, 4.)
La chute du temple, « pas une pierre laissée sur
- ↑ Voir plus haut, p. 215, note. — (Note de l’Auteur.)
« Le médaillon représente un petit monument gothique, un oiseau est perché sur le linteau, et un hérisson entre par la porte ouverte. On pense à quelque fable d’Ésope, et non au terrible passage de Sophonie, que l’artiste a la prétention de rendre : « L’Éternel étendra sa main sur le Septentrion, il détruira l’Assyrie, et il fera de Ninive une solitude, une terre aride comme le désert ; des troupeaux se coucheront au milieu d’elle, des animaux de toute espèce, le pélican et le hérisson, habiteront parmi les chapiteaux de ses colonnes, des cris retentiront aux fenêtres, la dévastation sera sur le seuil, car les lambris de cèdre seront arrachés » (Émile Male, p, 217). — (Note du Traducteur.)
- ↑ En français dans le texte.