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m’était bien défendu de manier, de toucher ; voitures capitonnées, ou simples « barouches », où je m’installais en maître pour conduire un cheval imaginaire en des randonnées interminables ; un banc à planer qu’on utilisait pour la confection de maint outil ou ustensile domestique, de fourches, de râteaux en bois, et même d’arcs et de flèches « pour le p’tit gars d’Antoine »[1].

  1. Bulletin des Recherches Historiques, vol. XXX, p. 294.