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nislc dans toute la force du mot. et» Il le déclare’ à qui Vjeut l’entendre, hélas h - Il fut un - temps, qui: n’est pasencore perdu dans le crépuscule de son enfante, ou i) entretenait d’autres idées. Je trouve, à la fin de Y Introduction à V Histoire de la Mère de: VIncarnation, l’éloquente prédic- tionque voici sur.îa République Améri¬ caine : :\t_ s\t,\t-\t:.. M ,\t*5 “ La parole du Comte de Maistre se réalise sôùs nos yeux. a Laissez donc a grandir cet enfant au maillot,.” avaîfc-il dit, un jour, indigné de ia stupide ad¬ miration qu’on prodiguait aux prcttn dus progrès des Etats-Unis. > L’enlan a grandi depuis ce jour ; eL sa tombe est si près de son berceau, que ses langes pourront lui servir de linceul. Bientôt, cette grande République, fondée sur le sable, morcelée cri cent- petts étatSj com¬ me l’Amérique du Sud, dévôrera elle- même son influence, et avec elle celle duprotestamisrne.’’ • t [ i .1 C?est très-bien dit; mais;aujourd’hui L’abbè Casgra in ne le trouverait plus si bien pensé. Il n’appellerait plus stupide un sentiment qui est devenu le sien, et il ne placerait plus si près de son -berceau îa tombe de la natim modek. ’: Les opinions^ je devrais peut-être dire