Page:Routhier - Portraits et Pastels Littéraires (sous le pseudonyme Jean Piquefort), 1873.djvu/41

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y ^Potir résumer ce qui me reste à dire éut* Thistôrién, je dirai qup l’histoire n’est pàg véritablement son geûre. Il wti né romancier. Il a le talent qui convient an roman ; Fimaginâtionv lfinventiôii et une Connaissance ' profonde de ce que l’on ÿOUrrait appeler les machines drcmwti- ffi&èï Mi i/.’odr/i> Rr.q Cxv.yiji.Cj *>.{ fit.* * iîoSar pente.naturelle ie pousse au roman Chirôtiehùét-rjô'irieii^ois'pas -pourquoi. if ft?ést pa& entré dans; cette voie.1 Il a devant hii les plus feaux modèles eiüce genre. Fabiola, Gallista, Aurélia; «Virjgi- fiî&gon t des romans magnifiques qui ihs irtisent et qui édifient:rnraoo Lôvot Lili>^sgram.a;rviéité l’Italie- et étudié ftoffiê. Ne pourrait# pas tréuvpr .dans ]fei"premiers éiècies' de l’Histoire ded’E- glise de pieuses légendes et de dramati¬ ques histoire» qui serviraient de canevas à dés romans délicieux Jt * Ahr>vzE •» •>o Jo l’engage à y penser et il y trouvera $*Véin&rc£œi -aod btmh j. r/ •; v; iinp 6c41X1 Hector Fabrey qui est un critique délicat; a fait Tappréciatiori de VHistoire dt fajMère dé f Incarnation et il ÿ a trouvé comme moi, de la déclamation dans le style} Famovr de certains mots sonores dan*