Page:Routhier - Portraits et Pastels Littéraires (sous le pseudonyme Jean Piquefort), 1873.djvu/35

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8$ • •, f '\t..\t'•»'•)\t')]>"; v r.'i V\t‘ la mère ; il jeté sur ces divers états le> voile de le religieuse, à travers lequel ils ne peuvent qu'apparaître sous uni joiir faux»:ft •rj'.q f<7rj*.r i ùa') • o-r\t'\tr riC?es(Uà un grave défaut» H y i dans le cœur et dans la? vie des Saints; un cô^ té.huipaiu qu’il est non* seulement aUray * ant, mais: salutaire de révéler» vous le cachez, vous placez (es .Saints à une tede hauteur dans la: vie surnaturelle, que le lecteur perd toutespoir d’y attein¬ dre jamais, et syotre livre ne peut plus exercer la saine influence qu’il devrait. .Mgr: Dupanloup a exprimé la même idée dans sa lettre, à.d’al bé Bougaud, k Voccasion de V Histoire de Sainte Chantai .♦ r , u (Test; encore un défaut capital et;trop,

  • A commun aux hagiographies de nous re-,

4‘ présenter,ries saints si dépouillés de ce 4‘ qui est, humain, qu’on se demande vrai- “ çaen>';si {c’est' bien 1& un ? homme, ùa ‘‘ fils dédain, un être ode;TOhair:;et'd!os' Vl mtmsc, ! ttO; graftd intérêt*? ; et la “ granfei vértfé Ader. rvot^e hyre, au.cont ^‘;traire,nc?est(que le côté surnaturel, dans ‘4ootto>yie^n^^rbe/pas le? côté naturel ; ^jc’est que la femme* ia OUe^ Vépouseflq 41 lùôredayeuye rapparai^sonttour à 4t>ur “ dans la sainte ; c’est que la lutte delà “ nature et de la grâce et les progrès de il