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volupté


Jeunes gens, fuyez loin de ses bords dangereux,
Évitez ses sentiers et ses bosquets perfides.
Sous la fleur croît l’épine ; et le fruit savoureux
Recèle pour le cœur des poisons homicides.

L’homme n’y jouit guère ; il y pleure souvent
Et quand il a perdu ses plus belles années,
Tous ses plaisirs s’en vont, comme une feuille au vent…
Seul, il reste à pleurer ses tristes destinées !



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