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ST-JÉROME

Hébert que les devoirs de son ministère rappellent à Kamouraska, et qui ne peut nous suivre plus loin.

Passagers et rameurs sont à leurs postes, le signal est donné, et les avirons plongeant dans l’onde en cadence font glisser les canots sur la crête des vagues qui ne sont pas encore tout-à-fait apaisées.

Aussitôt le P. Lacasse et les sauvages se découvrent, et le missionnaire dit à haute voix la prière du départ. Sans la comprendre parce qu’elle est en Montagnais — nous nous y joignons d’intention et nous défions après cela les éléments.