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pavillon qui descend le long de la hampe, le mystérieux morceau d’angélique extrait de sa veine. »

Edmond ROSTAND
(Lettre adressée, en 1910, à Raymond Roussel en réponse
à l’envoi d’un exemplaire d’Impressions d’Afrique.)


« … Dans le jeune cerveau de M. Armand Salacrou, les maîtres qu’il a lus et qu’il admire se livrent un étrange combat. À écouter Tour à terre, on songe à Musset, à Baudelaire, à lord Byron, à Verlaine, et l’on songe aussi au Zola des livrets d’opéra, à Saint-Georges de Bouhélier, à Raymond Roussel, à Jean Cocteau, que sais-je encore ! »

Edmond SÉE
(L’Œuvre.)


« Raymond Roussel est peut-être l’écrivain le plus original, le plus spontané de la littérature contemporaine… C’est lui sans doute qui a su découvrir le merveilleux moderne… »

(Anthologie de la Nouvelle Prose française.)


« … un des apôtres les plus fougueux du culte roussellien… »

(L’Événement.)


«… un de ces admirateurs fanatiques et éblouis de Raymond Roussel, un de ceux qui ont salué en lui un génie précurseur, une imagination prodigieuse, une fantaisie poétique extraordinaire… »

(Comœdia.)


«… Quelques-uns crient au génie… Et, dans la salle, des gens qui, quelquefois, s’entre-battent… »

(Le Soir. Bruxelles.)


«… Les snobs ont salué en Raymond Roussel, auteur de Locus Solus, un précurseur de génie… »

(Les Annales politiques et littéraires.)