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Il défend son sentiment sur la prière & sur la liberté.

Lett. VIII. De Mme de Wolmar à Saint-Preux

Elle lui fait des reproches dictés par l’amiiié, & à quello occasion. Douceur du désir, & charme de l’illusion. Douceurs de Julie, & quelles. Ses alarmes par rapport à l’incrédulité de son mari calmées, & par quelles raisons elle informe Saint-Preux d’une ])arlie qu’elle doit faire à Ghillon avec sa famille. Funeste pressentiment. Lett. IX. De Fanchon Anet à Saint-Preux 4

Mme de Wolmar se précipite dans l’eau, où elle voit tomber un de ses enfants. Lett. X. A Saint-Preux, commencée par Mme d’Orbe & achevée par M. de Wolmar

Mort de Julie. 450

Lett. XLDe M. de Wolmar à Saint-Preux

Détail circonstancié de la maladie de Mme de Wolmar. Ses divcr.-î entretiens avec sa famille & avec un ministre sur les objets les plus importants. Retour de Claude Anet. Tranquillité d’âme de Julie au lit de mort. Elle expire entre les bras de sa cousine. On la croit faussement reudue à la vie. & à quelle occasion. Comment le rêve de Saint-P-eux est en quelque sorte accompli. Consternation de toute la maison Désespoir de Claire.

Lett. XII. De Julie à Saint-Preux

CcUe lellre éloil incluse dans la précédenle.

Julie regarde sa mort comme un bienfait du ciel , & par quel motif. Elle engage de nouveau Saint-Preux à épouser Mme d’Orbe, & le charge de l’éducation de ses enfants. Derniers adieux.

Lett. XIII. De Mme d’Orbe à Saint-Preux

Elle lui fait l’aveu de ses sentiments pour lui, & lui déclare en même temps qu’elle veut toujours rester libre. Elle lui représente l’importance des devoirs dont il est chargé ; lui annonce chez M. deWolmar des dispositions prochaines à abjurer son incrédulité ; l’invite, lui & milord Édouard, à se réunir à la famille de Julie. Vive peinture de l’amitié la plus tendre & de la plus araère douleur. Les amours de milord Édouard Bomston

Édouard fait connaisance à Rome