Page:Rouquette - Meschacébéennes, 1839.djvu/41

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


A MA SŒUR, A MES FRERES.

LOUISE.



Quand elle reposa, sous un tertre sans nom,
Celle à qui nous liait le filial chaînon,
Et que, sur ce gazon où l’arbuste s’incline,
Pleuraient ses fils enfans et sa fille orpheline,
Moi, qu’alors enfermait la zone d’orient,
Enfant insoucieux et prisonnier riant,