ce que nous nommons la mort. Mais quand sonne l’heure du repos, la Nature nous couche et le sommeil vient.
Il faut toujours considérer les choses humaines comme éphémères et sans valeur ; hier germe, aujourd’hui cadavre embaumé et cendres. Il convient donc de passer cet infini moment de la durée selon la nature et de finir sa vie avec sérénité comme une olive mûre qui tomberait, bénissant la terre qui l’a nourrie et rendant grâces à l’arbre qui l’a portée.
Ce que l’homme appelle un mystère n’est que l’effet de son ignorance.
Toute notre vie n’est qu’une succession de craintes injustifiées.
Les systèmes qui se heurtent maintenant sont les rêves du crépuscule. Laissons-les passer. Le soleil luit et la terre poursuit sa marche : insensé serait celui qui douterait du jour.
La vérité est comme la lumière. Il faut s’y habituer peu à peu, autrement elle éblouit.
Il y a unité dans la nature depuis l’atôme jusqu’à l’homme.