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LA FAISANE.
Il part !… Pour les garder quand ils sont infidèles,
Des bras ! des bras ! des bras ! — Nous n’avons que des ailes !
CHANTECLER, s’arrête, et la regarde, troublé.
Elle pleure ?
PATOU, vivement.
Va t’en !
CHANTECLER, à Patou.
Reste un peu !
PATOU.
Rien ne sait regarder pleurer comme un vieux chien !
LA FAISANE, criant, à Chantecler, avec un bond vers lui.
Emmène-moi !
CHANTECLER, se retourne, et d’une voix inflexible.
Veux tu passer après l’Aurore ?
LA FAISANE, dans un recul sauvage.
Jamais !
CHANTECLER.
Alors, adieu !
LA FAISANE.
Je te hais !
CHANTECLER, qui déjà s’éloigne à travers les broussailles
Mais je servirais mal l’œuvre qui me reprend
Près de quelqu’un pour qui quelque chose est plus grand !
Il disparait.