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— Quand vous me revoudrez… plus tard… une autre fois…
Que votre appel soit fait par une de ces voix
Où l’âme populaire, avec rudesse, tremble !
Mais, jeune byronien, — âme qui me ressemble ! —
Rien ne m’eût décidé ce soir — sois sans regret !
Car pour être empereur, je ne me sens pas prêt !
Scène XI
Les Mêmes, LA COMTESSE puis DIETRICHSTEIN
LA COMTESSE, qui sort de l’appartement de Marie-Louise et entend ces derniers mots, saisie.
Vous, pas prêt ?
(Elle se retourne et vivement, parlant par la porte
entre-bâillée à Marie-Louise et à Scarampi invisibles.)
entre-bâillée à Marie-Louise et à Scarampi invisibles.)
Pour le bal de ce soir, la blanche, pas la mauve !…
(Fermant la porte et descendant vers le duc.)
Pas prêt ! Que vous faut-il ?
LE DUC, fermement.
De travail.
LA COMTESSE, farouche.
Viens régner !
LE DUC.
Non ! mon front n’est pas mûr !
LA COMTESSE.
La couronne suffit pour mûrir une tempe !
LE DUC, montrant la table de travail.
Oui, la couronne d’or qui tombe d’une lampe !
LE JEUNE HOMME.
C’est que l’occasion…
LE DUC, se retournant, avec hauteur.
Serait-ce le tailleur qui reparaît ?
LA COMTESSE.
Mais…