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METTERNICH.
Oh ! non ! Mais le détail qu’il ne sait pas encore
C’est qu’on a rétabli le drapeau tricolore.
Il sera toujours temps…
L’ATTACHÉ.
L’enivrer !
METTERNICH.
Oh ! le duc n’est jamais enivré.
L’ATTACHÉ, un peu inquiet.
Je trouve qu’à Baden sa garde est moins sévère.
METTERNICH, très tranquille.
Oh ! ici, rien à craindre : il est avec sa mère.
L’ATTACHÉ.
Comment ?
METTERNICH.
Qu’elle à le surveiller ? Tout complot troublerait
Son beau calme…
L’ATTACHÉ.
Elle ne doit penser qu’à l’aiglon !…
(La porte des appartements de Marie-Louise s’ouvre.)
MARIE-LOUISE, entrant en coup de vent, avec un cri de désespoir.
Ma perruche !
Scène IV
Les Mêmes, MARIE-LOUISE un instant, et LES DAMES D’HONNEUR qui la suivent affolées.
L’ATTACHÉ.
Hein ?
MARIE-LOUISE, à Metternich.
Margharitina, Prince, qui s’envola !