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LE DUC.
Non !
METTERNICH.
Qui te ressemblent tous !
LE DUC, hors de lui, cherchant à arracher le candélabre que Metternich maintient.
Je casserai la glace !
METTERNICH.
D’autres ! d’autres encore arrivent !
LE DUC, brandissant le lourd candélabre que Metternich vient enfin de lui abandonner, et en frappant, d’un geste insensé, le miroir.
Je la casse !
(Il frappe avec rage ; la psyché s’effondre, les bougies s’éteignent ; la nuit se fait, dans un grand bruit d’éclats de verre. Le duc se jette en arrière, délivré, avec une clameur de triomphe.)
Il n’en reste pas un !
METTERNICH, déjà sur le seuil, se retourne, et avant de sortir.
Il en reste un toujours !
LE DUC, chancelle à ces mots, et fou de terreur, il crie dans la nuit.
Non ! non ! ce n’est pas moi ! pas moi !
(Mais sa voix s’étrangle, il bat l’air de ses bras, tourne dans l’ombre, et tombe, lamentable blancheur, devant le miroir brisé, en appelant :)
Père ! au secours !
Rideau.