Page:Rosny aîné - Le Cœur tendre et cruel, 1924.djvu/139

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

cevaient comme lui la grâce incomparable, prenaient Rose sur leurs genoux, goûtaient, une à une, les aventures subtiles de l’avant-volupté et, de plus, la possédaient…

Il poussa un gémissement, il se mit à fuir à travers les rues, traqué par la jalousie comme par une bête carnivore.