Page:Rosny aîné - La Femme disparue, 1927.djvu/162

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Le chapeau… la veste… et la corde !

Martin se débat obscurément, ses narines saignent à gros bouillons, et Martial continue à enrouler la corde qui a pris le vaincu aux jambes.

— Un de réglé ! murmure-t-il.

Il scrute l’horizon, avec la vague espérance d’aider à la capture du second bandit. L’étendue est déserte… Dévorant et Loup-Garou sont trop loin pour se faire entendre.