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ce secret. Vous me contraignez à demeurer ici, soit ! Mais du moins vous ne me forcerez à aucune chose qui soit contre mon devoir !
Ma voix était rauque, résolue. Mary me jeta un regard très tendre, presque humble, et répondit :
— J’y consens. Je ne vous parlerai plus de rien. Et si je manquais à ma parole, je jure de vous laisser partir sans tenter de vous suivre ni de rien faire contre moi-même.
— Cela étant, je resterai… mais en vérité, vous avez choisi la mauvaise voie.
Elle garda le silence. L’heure me pressait. Je m’inclinai doucement, je partis, dans une mélancolie affreuse.