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die, et l’âme tout entière, une pauvre jeune âme traquée, y parut.

— Mon Dieu ! balbutia-t-elle.

Cette fois je lisais trop bien, dans les yeux ardents, la force de l’aventure, et, tandis que la jeune fille s’enfuyait, je demeurai dans une méditation inquiète.

Je restai là jusqu’à midi. Je convins que la passionnette pouvait être de l’amour ; j’étais touché jusqu’aux larmes en me souvenant de ce beau et triste regard douloureux. Oui, en vérité, touché jusqu’aux larmes, ému de ce que ma gracieuse amie fût devenue amoureuse, mais pas d’un scrupule