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dige, semée de lampyres, d’albâtres, de fantômes aranéens, d’astérismes hydratés. Le songe persévérait dans les deux hommes, la surélévation mystique, le frôlement d’immanence, le désintéressement, la pureté de l’âme, la volonté du Beau, du Vrai, du Sacrifice et, comme naguère, Marc répéta la parole du grand esclave d’Epaphrodite :

— « Que la Mort et l’Exil, et toutes les choses terribles, toujours te soient présentes, et tu n’auras point de pensées basses, et tu ne désireras rien avec trop d’ardeur ! »

fin